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D’infidélité à échangisme en soirée

Karine et moi avons quitté notre région natale en septembre et nous nous sommes installés dans notre nouvelle maison, en Bretagne, sans trop d’agitation ni de fanfare. Le quartier dans lequel nous nous sommes installés était calme et ne comptait qu’une vingtaine d’autres maisons. Karine et moi nous étions rencontrés pour la première fois au comptoir d’un magasin trois ans auparavant, elle faisait partie du personnel civil travaillant sur la base où j’étais stationné. Elle m’a tout de suite plu, ses yeux verts brillants, encadrés par des cheveux brun foncé, avaient un bel éclat et ses lèvres pleines ne demandaient qu’à être embrassées !

Le reste de Karine était tout aussi séduisant, elle avait des rondeurs, des jambes galbées et de beaux seins fermes de bonne taille. En tant qu’amateur de seins, j’étais aux anges, et encore plus quand j’ai découvert qu’elle pouvait jouir rien qu’en se faisant sucer les seins !

C’était mon premier poste depuis mon inscription il y a environ 7 ans et j’avais hâte de boire un vrai cidre ou deux ! Karine s’est immédiatement mise à la recherche d’un emploi et a rapidement trouvé un poste administratif dans la ville voisine.

Noël et le Nouvel An se sont succédés dans notre nouvel appartement sans trop d’agitation ni de fanfare, et j’ai eu le plaisir d’apercevoir les signes du printemps. Les oiseaux nichaient en haut des arbres et les feuilles se déployaient sur les branches. À cette époque de l’année, un autre phénomène naturel se produit également, les ourlets commencent à monter et les décolletés à plonger ! Oh oui, j’adore le printemps.

Vers la mi-avril, Karine est rentrée à la maison un jour et m’a dit que nous étions invités à une fête chez son patron ce week-end-là. Comme nous n’avions rien de prévu, nous avons accepté d’y aller. Je me suis dit que ce serait bien de rencontrer les collègues de travail de Karine.

Le samedi est arrivé et nous avons commencé à nous préparer pour la soirée. J’ai opté pour un jean confortable et une chemise habillée, tandis que ma moitié a choisi une robe qui lui arrivait juste au-dessus du genou, couvrant sa lingerie préférée, avec des bas. Nous étions presque en retard pour le taxi que j’avais réservé lorsque je l’ai vue en petite tenue, et Karine m’a dit que je devais attendre plus tard. Maudites soient les choses que j’aurais pu faire à ce moment-là !

Une fois à la fête, on m’a présenté à quelques personnes, dont Juliette, la patronne de Karine. Juliette avait probablement 15 ans de plus que moi, ce qui lui donnait environ 45 ans. C’était une femme agréable, joliment habillée, avec des courbes qu’elle n’hésitait pas à montrer à en juger par la quantité de décolleté que je pouvais voir. Ces gros seins devaient faire au moins 105d, vu la façon dont ils poussaient contre son chemisier serré. Je pouvais facilement voir son soutien-gorge blanc à travers son haut, qui s’efforçait de maintenir ses seins en place. Une jupe courte, des collants ou des bas et des talons complétaient le look de Juliette.

Juliette avait une lueur d’espoir dans ses yeux bleus lorsqu’elle m’a serré dans ses bras pour me souhaiter la bienvenue, et sa main est descendue jusqu’à mon cul, qu’elle a pressé un peu. Bon sang, je me suis dit, est-ce qu’elle est toujours aussi amicale ?

Puis elle est partie, disparaissant pour parler à un autre invité, jouant parfaitement son rôle d’hôtesse.

La nuit s’est déroulée tranquillement, j’ai bavardé amicalement avec tous ceux que j’ai rencontrés. La nourriture était bonne et l’alcool coulait à flot pendant que nous nous mêlions les uns aux autres. À un moment donné, Karine a disparu pendant quelques minutes, puis elle est réapparue avec un homme que je n’avais jamais vu auparavant. Un grand noir qu’elle m’a présenté sous le nom de Ludovic. Il mesurait environ 1,80 m, il avait quelques centimètres d’avance sur moi, il était large et il m’a serré la main avec un sourire éclatant. « Enchanté de vous rencontrer Bertrand », dit-il, « Karine m’a parlé de vous ».

Je lui ai rendu son sourire et sa salutation avec joie, tout ami de Karine était un ami pour moi après tout et Ludovic avait une manière agréable et facile de se comporter. Karine et moi avons continué à nous mêler les uns aux autres comme avant, et nous avons passé du temps à faire connaissance avec d’autres invités de la fête.

Juliette, toujours prête à nous accueillir, s’est assurée que nous avions tous beaucoup à boire, en s’affairant à remplir les verres d’une réserve d’alcool apparemment inépuisable. En remplissant mon verre, Juliette a bredouillé : « Je crois que Karine aime bien Ludovic ».

En jetant un coup d’œil, j’ai vu ma femme ravie de l’attention que Ludovic lui portait, la tête rejetée en arrière en riant, sa main effleurant son bras. J’ai ressenti une brève poussée de jalousie en voyant ma femme flirter ouvertement avec un autre homme, surtout s’il est si beau !

Juliette m’a sorti de ma torpeur en me chuchotant à l’oreille : « Ludovic a l’air d’aimer Karine, c’est aussi un bel étalon » ! En regardant Juliette d’un air perplexe, elle a rapidement essayé de faire marche arrière : « Je suis sûr que c’est inoffensif ».

Cependant, la graine était semée. J’étais à une soirée et ma femme était suspendue à chaque mot de cet homme. Sa main le touchait constamment quelque part, elle riait et remuait ses cheveux en le regardant.

« Ne t’inquiète pas pour ça », a entonné mon hôtesse, « je suis sûre qu’il ne se passera rien ici ». Sa main s’est ensuite posée sur mon épaule de manière conciliante, m’aiguillant pour parler à quelqu’un d’autre.

En chassant le flirt de ma femme de mon esprit, je me suis rappelé qu’à ma connaissance, elle avait toujours été fidèle et qu’il ne se passerait rien ici.

Comme j’avais tort !

Une heure plus tard, j’ai perdu la trace de Karine et je me suis retrouvé à l’intérieur de chez Juliette à la recherche d’une salle de bains pour me soulager. En sortant de la salle de bain, j’ai vu Juliette qui regardait par une porte légèrement entrouverte.

En marchant derrière elle, j’ai pu voir qu’elle était absorbée par ce qui se passait à l’intérieur de la pièce et qu’elle semblait avoir sa jupe froissée sur le devant. Ne voulant pas effrayer Juliette, j’ai raclé ma gorge et elle m’a rapidement regardé par-dessus son épaule, redressant sa jupe en même temps.

« Oh salut, c’est toi », chuchote Juliette. « Oui », a-t-elle sifflé, « je vérifie juste quelque chose », puis elle s’est tournée vers moi, essayant de m’éloigner de la porte.

En entendant des gémissements étouffés venant de la chambre, j’ai fait un pas en avant pour jeter un coup d’œil. « Non, Bertrand, ne fais pas ça », me siffle Juliette, tout en se retournant pour regarder dans la pièce. J’étais maintenant juste derrière elle et j’ai jeté un coup d’œil par-dessus son épaule.

Ce que j’ai vu m’a coupé le souffle ! Le sang a pompé dans ma tête, mes oreilles ont battu la chamade à cause de ce que j’avais sous les yeux !

« Je suis vraiment désolée ! » Juliette a déclaré calmement.

Je n’en croyais pas mes yeux ! En regardant par le petit interstice de la porte, je pouvais clairement voir ma femme, déshabillée de sa lingerie, à quatre pattes en train de se faire baiser par Ludovic. Ses seins rebondissaient tandis qu’il enfonçait sa grosse bite noire dans la chatte dégoulinante de ma femme et elle adorait ça ! Je pouvais clairement voir son visage dans un miroir sur le mur en face d’elle, il était contorsionné par le plaisir alors qu’elle tremblait à chaque poussée du taureau noir qui la chevauchait !

« Baise ma chatte, espèce de salaud, baise-la à fond », haletait Karine, « c’est ça donne à ma chatte cette putain de grosse bite ! ».

Comment pouvait-elle me faire ça ? L’avait-elle déjà fait auparavant ?

J’avais oublié la présence de Juliette jusqu’à ce qu’elle fasse un pas en arrière, ses fesses entrant en contact avec mon entrejambe. À ma grande surprise, je bandais !

Ma femme se faisait baiser par un gros étalon noir et ça m’excitait !

Juliette s’en est clairement rendu compte et s’est enfoncée encore plus fort dans mon corps. Je l’avais presque oubliée en regardant ma femme se faire baiser. Pourtant, je me suis baissé et j’ai attrapé les hanches de Juliette en poussant ma bite dure dans son cul. Juliette s’est repliée encore plus fort, se tortillant contre moi. Je me suis dit qu’elle prenait son pied en regardant son mari baiser ma femme, ça l’excitait, ce qui explique pourquoi sa jupe était froissée, elle jouait avec elle-même, sale garce.

Je voyais quand même ma femme se faire brutalement baiser par la grosse bite noire de Ludovic, il la baisait plus fort à chaque poussée. Elle haletait tandis que son énorme bite s’enfonçait en elle, ses seins se balançaient sauvagement tandis que ses couilles s’écrasaient sur son clitoris. Karine continuait à crier des obscénités pendant qu’elle se faisait baiser. « C’est tellement bon, putain ! Ne t’arrête pas, défonce-moi avec cette bite ! Baise ma chatte juteuse à fond, à fond ! »

Juliette avait clairement décidé qu’elle en avait assez de voir Ludovic baiser ma femme et, debout, elle m’a attrapé la main en m’entraînant dans une chambre adjacente.

Fermant la porte derrière elle, elle a tourné le verrou, puis, me regardant, elle a défait sa jupe et l’a laissée tomber sur le sol. Son chemisier a suivi peu après, jusqu’à ce qu’elle ne porte plus que ses sous-vêtements. Juliette n’était pas un top model et elle avait des bosses, mais elle m’a fait de l’œil ! Ses seins massifs étaient à peine contenus dans son soutien-gorge blanc en dentelle, des monticules de chair se répandaient sur le dessus, ses tétons durs luttant pour se libérer ! Elle portait une petite culotte en dessous et complétait son look avec des bas blancs. Ma bite a fait un bond à la vue de Juliette qui me souriait lascivement.

C’était le point de non-retour, je n’avais pas encore été infidèle, je pouvais me lever et partir et mes vœux de mariage seraient toujours respectés, enfin de mon point de vue !

Juste à ce moment-là, j’ai entendu un cri étouffé provenant de la chambre voisine, me rappelant que ma femme se faisait bel et bien baiser par un autre homme ! Je l’emmerde et je la baise !

Avançant vers moi, Juliette a passé ses bras autour de mon cou et m’a embrassé fougueusement. Sa langue s’enfonce dans ma bouche. Ses mains sont allées à ma braguette, déboutonnant habilement mon jean, ma chemise était enlevée avant que je m’en rende compte et elle m’a repoussé sur le lit.

Je n’ai pas résisté, elle a enlevé mon jean et s’est jetée sur ma bite !

Je me moquais bien d’être infidèle à ce moment-là, d’autant plus que ma femme était à côté en train de se faire chevaucher jusqu’à l’oubli par un étalon noir !

Juliette, a saisi ma bite palpitante et a baissé la tête sur moi, sans ménagement, elle a pris le tout d’un seul coup. Elle m’a englouti avec avidité, branlant ma queue dure dans sa bouche accueillante.

Je suis resté allongé et je l’ai laissée me sucer, putain, c’était bon, vraiment bon ! J’ai gémi lorsque Juliette m’a encore une fois profondément englouti, je jure que j’ai pu sentir ses amygdales à un moment donné !

Après quelques minutes d’une fellation époustouflante, Juliette s’est redressée, m’a regardé dans les yeux et m’a dit : « C’est mon tour ! ». Elle a rapidement enlevé son soutien-gorge, libérant ses putains de seins énormes, elle a tripoté ses tétons en me regardant avec avidité. Ils sont immédiatement devenus très durs, ses seins étaient énormes. Mon estimation précédente de 105d était définitivement erronée, ils étaient plus proches de 115d ! En glissant ses doigts dans sa culotte, Juliette l’a rapidement fait passer par-dessus ses bas, puis elle est montée sur le lit. En se penchant vers l’avant, ses tétons durs ont effleuré mon corps nu tandis qu’elle se déplaçait lentement au-dessus de moi. Elle est passée devant mes genoux, a frôlé ma bite, puis a remonté sur mon torse, avant de les pousser vers mon visage.

Je me suis régalé des énormes seins dans mon visage, je les ai serrés l’un contre l’autre, suçant deux gros mamelons à la fois. Un gémissement d’appréciation s’est échappé des lèvres de Juliette, tandis que je faisais un repas de ses énormes mamelles.

Puis, tout à coup, elle les a enlevés, s’est redressée et a commencé à se frotter contre ma cuisse. Je sentais son jus poisseux recouvrir ma jambe tandis qu’elle s’écrasait sur moi. J’ai tendu la main, serrant ses énormes seins qui flottaient sur sa poitrine. Putain, j’étais au paradis !

« Assez », souffle Juliette, « Je veux qu’on me lèche la chatte ! ». En se déplaçant plus haut sur le lit, les cuisses de Juliette, recouvertes de bas, se sont retrouvées de part et d’autre de ma tête. En levant les yeux, je pouvais voir sa chatte juteuse à quelques centimètres de ma bouche, ses lèvres charnues devaient mesurer au moins un centimètre de long et étaient luisantes de son jus. Son clito au-dessus d’elles était énorme, dur et semblait si invitant !

« Mange ma chatte Bertrand », a insisté Juliette, puis elle s’est abaissée sur ma bouche. J’étais au paradis ! Elle sentait délicieusement bon et son goût était encore meilleur quand j’ai fait glisser ma langue à travers ses grosses lèvres juteuses. Ma langue a glissé de l’arrière vers l’avant pendant qu’elle s’écrasait sur mon visage, j’ai lapé son jus de chatte avec avidité, ma langue plongeant à l’intérieur de son trou de chatte. Un gémissement reconnaissant s’est échappé de ses lèvres et elle s’est écrasée encore plus fort sur moi, frottant son clito sur mon nez tandis que ma langue s’enfonçait profondément en elle. « Baise-moi avec la langue Bertrand, c’est ça, mange ma chatte charnue, sale bâtard ! » gémit-elle au-dessus de moi.

Qu’est-ce que je devais faire ? J’ai obligé Juliette, mangeant sa chatte pour tout ce que je valais, ma langue s’abattant sur son clito dur, puis plongeant à nouveau entre les lèvres de sa chatte. Elle mouillait de plus en plus pendant que je mangeais sa chatte comme si ma vie en dépendait !

Juliette se jetait maintenant dans ma bouche, ses jambes en bas à côté de ma tête. « Putain, c’est bon, n’arrête pas, salaud ! » criait-elle, « Continue, j’y suis presque, ne t’arrête pas jusqu’à ce que je jouisse ! ».

Alors je ne l’ai pas fait, j’ai continué à sucer son énorme clito, à prendre ses grosses lèvres de chatte dans ma bouche, la langue glissant dans son trou de baise. Mon Dieu qu’elle avait bon goût !

« C’est ça Bertrand, continue, je vais jouir, ne t’arrête pas maintenant, continue ! Putain, je vais jouir, je vais jouir Bertrand, oh mon Dieu ! »

Soudain, elle a déchargé un torrent de jouissance sucrée dans ma bouche. Il y en avait tellement qu’elle a recouvert mon visage alors que j’essayais de tout avaler. Spasmant au-dessus de moi, Juliette a crié très fort : « Putain, putain, putain, oui ! J’arrive, sale bâtard, mange ma chatte ! »

Incroyablement, Juliette a lâché une autre giclée dans ma bouche, peut-être pas tout à fait autant cette fois-ci, mais suffisamment pour remplir ma bouche.

Lentement, les tremblements de Juliette se sont calmés au-dessus de moi, sa respiration s’est calmée et elle s’est doucement détachée de mon visage. « Oh mon Dieu Bertrand, c’était vraiment incroyable », murmure-t-elle en s’allongeant à côté de moi, « Je n’ai pas joui comme ça depuis des années ».

Je me suis souri à moi-même en savourant encore son goût sucré dans ma bouche, je me suis penché et j’ai embrassé Juliette, lui passant un peu de son propre sperme sucré. Je sentais ses énormes seins se presser contre moi pendant que nous nous embrassions et j’en ai attrapé un, effleurant son mamelon avec mes doigts, ce qui a fait se tortiller Juliette.

Je voulais plus de cette femme, beaucoup plus que ce que j’avais déjà eu. « Je veux te baiser Juliette, mets-toi à quatre pattes, sale pute !

Juliette s’est mise à genoux avec empressement, me présentant un cul de pêche avec un aperçu de sa chatte scintillant entre ses joues de cul. Je n’ai pas pu résister, j’ai tapé sur son cul, il s’est agité délicieusement, je l’ai tapé à nouveau. Juliette haletait à chaque gifle, remuant son cul vers moi.

« Allez ! Donne-moi cette putain de bite Bertrand, baise ma chatte juteuse ! » Je n’ai pas eu besoin de plus d’offre et j’ai introduit lentement mon outil dans sa chatte. Elle se sentait bien, tellement bien, chaude, accueillante et serrée.

J’ai saisi les hanches de Juliette et j’ai poussé jusqu’au bout, en m’arrêtant quand mes couilles ont touché son clitoris. Puis je me suis retiré jusqu’à ce qu’elle n’ait plus que la tête en elle, j’ai tressailli et je l’ai réintroduite en entier dans la chatte de Juliette. Putain, elle se sentait bien enroulée autour de ma bite.

En saisissant fermement ses hanches, j’ai lentement commencé à baiser Juliette, à un rythme régulier, mes couilles frappant son clitoris à chaque poussée.

En grognant à chaque poussée, je lui ai demandé : « Tu aimes ça, sale pute ? Tu aimes que ma bite dure baise ton trou de chatte serré ? »

« Putain oui, j’adore ça Bertrand » répondit-elle à bout de souffle, « baise-moi, plus fort, baise-moi putain, sale bâtard ! ».

En regardant le cul de Juliette, j’ai vu son trou de cul me faire un clin d’œil, il avait l’air si invitant, alors j’ai glissé un doigt le long du trou et n’entendant aucune objection, je l’ai poussé à l’intérieur. Juliette m’a regardé par-dessus son épaule et a souri pendant que mon doigt s’enfonçait jusqu’à la jointure. Je savais que je ne tiendrais pas longtemps, alors j’ai légèrement ralenti le rythme, m’introduisant lentement dans sa chatte brûlante.

Sentant ma tentation, Juliette s’est avancée davantage jusqu’à ce que je sorte complètement d’elle. « Tu étais proche alors, n’est-ce pas Bertrand ? » « Oui ! » J’ai haleté. « Bon, alors, reste là », dit Juliette en se levant du lit et en ouvrant un tiroir de la table de chevet. En revenant sur le lit, Juliette a révélé un tube de lubrifiant. Elle en a versé un peu dans sa paume et a enduit ma bite jusqu’à ce qu’elle soit bien lisse, puis elle a frotté le reste sur son cul froncé.

En se replaçant devant moi, Juliette s’est penchée vers l’arrière et a glissé un doigt dans son propre cul, qui s’est enfoncé facilement, jusqu’à la jointure.

« Tu veux ta bite dans mon cul, Bertrand ? » demande-t-elle.

Je me suis contenté d’acquiescer bêtement, tout en caressant ma queue. « Bien, alors rentre-moi, baise mon cul, baise-le à fond et n’arrête pas tant que je ne te l’aurai pas dit ! ».

Je me suis redressé sur mes genoux, j’ai niché ma bite palpitante contre le petit cul de Juliette et j’ai poussé. Putain, c’était serré ! « Doucement Bertrand » Juliette a dit, « On ne me baise pas souvent dans le cul de nos jours ».

En poussant doucement, le cul de Juliette a lentement cédé à ma bite, la tête se glissant à l’intérieur. Je me suis arrêté pour lui laisser le temps de s’adapter, puis j’ai continué à m’enfoncer, toujours aussi doucement. Une fois que j’ai été complètement enfoncé dans le cul de Juliette, j’ai levé les yeux pour voir son visage dans un miroir devant nous, le visage de Juliette avec un regard de pure luxure, ses gros seins pendants.

Saisissant ses hanches, j’ai commencé à baiser son cul serré, en accélérant lentement le rythme, jusqu’à ce que mes couilles frappent sa chatte charnue. J’étais captivé par le spectacle de notre baiser charnel. Juliette et moi en train de baiser comme deux animaux, moi au fond de son cul, ses seins se balançant, mes couilles frappant sa chatte.

Des voix à l’extérieur gloussaient en nous voyant baiser à l’intérieur. On aurait dit la voix de Karine, mais je m’en moque ! Elle avait fini de baiser son étalon noir et se demandait visiblement ce qui se passait à côté.

Juliette a levé les yeux vers moi et m’a dit : « Baise-la, baise-moi ! ». Et c’est ce que j’ai fait ! J’ai baisé le cul de Juliette comme je pouvais, ma bite entrant et sortant de son petit trou boudiné. En jetant un coup d’œil au miroir, je pouvais voir les yeux de Juliette se retourner dans sa tête : « N’arrête pas Bertrand, je vais jouir, jouir, fuuccckkkkk ! » Son corps s’est raidi alors que je lui pilonnais le cul, mes couilles ont été soudainement inondées alors que Juliette a déclenché un autre énorme orgasme. Une giclée après l’autre a jailli sur mes couilles, trempant le lit sous nous. Je n’ai pas arrêté de baiser son cul, mais je savais que j’atteignais le point de non-retour. Je sentais que ma jouissance commençait à monter du plus profond de mon être. Mon visage s’est déformé de plaisir lorsque la charge a commencé à remonter le long de ma bite !

Puis j’ai tiré ma charge, j’ai pompé mon sperme chaud profondément dans le cul de Juliette, ruban après ruban jaillissant à l’intérieur d’elle. J’étais vraiment époustouflé, c’était si bon !

Lentement, la sensation a commencé à s’estomper, ma respiration s’est calmée et je me suis retiré de Juliette. Je me suis écroulé à côté d’elle sur le lit, nous étions tous les deux rayonnants à la suite de nos efforts orgasmiques. En souriant, Juliette m’a tendu la main et nous nous sommes blotties l’une contre l’autre, nous sentant satisfaites et au chaud dans les bras l’une de l’autre.

Je commençais à m’assoupir quand Juliette m’a secouée doucement : « Il faut qu’on se lave et qu’on retourne à la fête », a-t-elle chuchoté à voix basse, « J’espère que personne n’a remarqué qu’on était parties. »

Juliette s’est nettoyée du mieux qu’elle a pu, gloussant en essuyant mon sperme entre ses fesses, car il menaçait de s’infiltrer dans sa chatte récemment baisée. Elle s’est ensuite rhabillée et j’ai fait de même. Une fois habillée, elle a déverrouillé la porte, vérifié que la voie était libre et nous nous sommes dépêchés de retourner dehors.

Je dois admettre que je ne me sentais pas du tout coupable de baiser quelqu’un d’autre que ma femme, elle n’avait pas pris en compte le caractère sacré de notre mariage lorsqu’elle a laissé Ludovic la baiser, alors qu’elle aille se faire foutre !

Alors que je m’avançais dans la pénombre, j’ai croisé son regard et je l’ai ignorée en me tournant vers un verre et en discutant avec la personne la plus proche.

J’ai entendu le mari de Juliette lui demander où elle avait passé les trente dernières minutes. « J’ai dû aller chercher de l’alcool au garage, Bertrand m’a donné un coup de main », a-t-elle répondu. Son mari a semblé satisfait de sa réponse et s’est remis à bavarder avec je ne sais qui.

À ce moment-là, ma femme m’a rejoint, m’a attrapé le bras et m’a tiré sur le côté en me sifflant à l’oreille : « Est-ce que je viens d’entendre Juliette dire que tu l’as aidée dans le garage ? »

« Oui », lui ai-je répondu en souriant, « elle avait besoin d’un coup de main pour trier plus d’alcool ».

« Vraiment ? T’es sûr ? » me demande-t-elle, « parce que j’aurais juré l’avoir entendue se faire baiser par quelqu’un tout à l’heure et tu n’étais nulle part ! »

« Ah, mais j’essayais de te trouver, alors c’est possible ? » J’ai répondu calmement « Je pense que c’est à peu près au moment où Ludovic a disparu aussi ! » J’ai insisté sur son nom et j’ai vu une lueur d’incertitude passer sur son visage.

« Euh, oh oui, peut-être qu’il aidait Juliette avec l’alcool », a balbutié ma femme. « C’est possible », ai-je répondu, « mais j’aurais juré avoir entendu sa voix dans l’une des chambres et on aurait dit qu’il baisait quelqu’un. Je n’ai aucune idée de qui c’était, mais elle avait l’air de s’amuser, tu aurais dû l’entendre gémir. Donne-moi cette putain de grosse bite noire », criait cette femme. Je pense qu’elle aura du mal à marcher après une telle séance, tu ne crois pas ? »

« Euh, peut-être, je ne saurais pas », a-t-elle rougi, devenant rouge.

Je me suis contenté de rire lorsque notre hôtesse nous a rejoints toutes les deux, « Karine pense avoir entendu Ludovic baiser quelqu’un tout à l’heure », ai-je souri à Juliette. « Ooh, je me demande qui était l’heureuse élue », murmure-t-elle d’un air conspirateur, en s’éloignant pour aller chercher sa culotte dans son cul qui se balançait.

Ma « fidèle » épouse m’a regardé fixement, un air d’indignation bienveillante se lisant sur son visage ! Elle a ouvert la bouche pour dire quelque chose, mais j’ai levé la main : « Ne t’avise pas d’aller là-bas », lui lançant un regard noir !

À ce moment-là, Karine savait que je savais qu’elle avait été baisée par Ludovic et je savais aussi qu’elle savait que j’avais baisé Juliette et je n’en avais rien à foutre !

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